Magique osmose Tout en démesure Avec moi TU Oses ! Vas y abuse ! Je deviens nourriture ! TA marque sur moi tu déposes… Bien après ton départ, Je reste TON œuvre d’art ! Dans une autre vie, je te l’aurais écrit..
Et il n’y a rien de plus beau que l’instant qui précède le voyage, l’instant où l’horizon de demain vient nous rendre visite et nous dire ses promesses. Milan Kundera
I need another story Something to get off my chest My life gets kinda boring Need something that I can confess Til’ all my sleeves are stained red From all the truth that I’ve said Come by it honestly I swear Thought you saw wink, no I’ve been on the brink, so
Tell me what you want from here Something that were like those years Sick of all the insincere So I’m gonna give all my secrets away This time, don’t need another perfect line Don’t care if critics never jump in line
Il y a plus de texte écrit sur un visage que dans un volume de la Pléiade et quand je regarde un visage, j’essaie de tout lire, même les notes en bas de page. Je pénètre dans les visages, comme on s’enfonce dans un brouillard, jusqu’à ce que le paysage s’éclaire dans ses moindres détails. Lire ainsi l’autre, c’est favoriser sa respiration, c’est-à-dire le faire exister. Peut-être que les fous sont des gens que personne n’a jamais lus , rendus furieux de contenir des phrases qu’aucun regard n’a jamais parcouru. Ils sont comme des livres fermés ». Christian bobin
J‘ai arrêté d’attendre sur des chaises occupées, J’ai arrêté de mettre mes attentes sur des gens non préparés. J’ai arrêté de faire semblant que l’autre comprenait. J’ai arrêté de mettre mes yeux et d’espérer dans des cœurs qui ne voulaient pas battre à côté de moi.
Jamais j’oserai vous apporter la peste Rien que pour mon plaisir Pour la beauté du geste Jamais j’oserai empoisonner le vin Vous voir devenir bleus Vous écrouler enfin Jamais j’oserai verser le sang des Hommes En guise de représailles Jamais j’oserai devenir un cauchemar, une abomination Et faire fuir les regards
Rassurez-vous C’est pas mon genre d’être monstrueuse
Quand tu me touches, j’ai des papillons dans le ventre Je vais t’aimer jusqu’au jour de ma mort Quand tu me coupes, tu me coupes comme un couteau Je veux te le dire, mais je suis terrifié
Oh, quelle journée parfaite Pourquoi dois-tu t’en aller ? Maintenant le ciel est si gris Je pense que ça va aller ?